Alexandre Desrochers | Comment j'ai surmonté les défis de l'énergie et exceller en tant que courtier immobilier au Québec

Moi, je te vois tout le temps comme un gars super joyeux, t'as tout le temps l'air pépé. Y a-t-il des passes quand tu travailles autant que ça ? Quand tu pognes un dente ? Ça va juste avec l'énergie. C'est comment tu fais pour la garder, ton énergie, à ce moment-là ? Ah ben là, on peut pas dire ça à la caméra. Ha ! Ha ! Ha ! Moi, j'ai eu ces dentes-là, mais c'était purement physique. J'avais... mon corps, à un moment donné, shut down, puis je produisais plus de testostérone. Depuis que mon médecin m'a arrangé ça, j'ai un implant maintenant dans la fesse. Ça marche ? Non, non, ça marche.

Je te dirais, j'ai dû traîner de la patte entre 5 et 10 ans, là, que j'ai rushé jusqu'à temps que tu trouves que c'était ça que j'avais parce que j'étais trop jeune. C'est quoi les symptômes ? Le gros symptôme, c'est l'énergie. Peut-être que, Alexandre, tu dis ça, mais tu performais pareil. T'avais une agence à rouler, tu faisais des transactions immobilières, crime, comment tu faisais ?

Eh bien, c'est ce que le médecin m'a demandé, parce que quand il a vu mes niveaux de testostérone, il m'a dit, tu dois pas faire grand-chose dans la vie, toi. C'est là que j'ai dit, j'ai dit, ben, écoute, je fais 100, 120 transactions par année. J'ai une agence d'une cinquantaine de courtiers. C'est-à-dire que t'es comme, je pense, un des, dans le top 5 des courtiers au Québec, je crois. L'an passé, j'étais quatrième, là, au Québec. Ça fait qu'il m'a regardé comme si j'étais une bébitte bizarre. Mais après ça, quand ils m'ont mis sur le traitement, j'ai vu que, dans le fond, j'ai vécu un enfer depuis ce temps-là. C'est carrément ça. Ça a changé ma vie. Vraiment.